Tout avait très bien commencé, malgré un réveil très matinal (5h30 British time) pour le petit déjeuner au Lounge. Nous étions en effet invités par le capitaine à revenir sur la passerelle pour l’arrivée à Santander, et ce jusqu’à la manœuvre finale. Très très cool et très instructif. Ils arrivent à “garer” le bateau à 15cm près.

Ensuite c’est le débarquement. Nous disons au-revoir à David 🇬🇧 et ses “ooh wahoooo”. Nous avions passé quelques bons moments, en langue française pour une fois, sur le bateau.

Alors après c’etait moins fun. Principalement une nationale pas très loin de l’autoroute. Et sur laquelle passe le chemin de Saint Jacques de Compostelle, nous avons croisé plein de marcheurs.

Le détour par Santoña (le nom du ferry) ne laissera pas de souvenirs incroyables (c’est la Charente de l’été dernier). C’était l’occasion de prendre un nième bâteau pour rejoindre Laredo, et de se faire prendre en photo par un expert du doigt devant l’objectif (on lui a fait recommencer, il a pas cadré le tandem 😁) .

Et franchement, l’urbanisme qui règne ici est d’une laideur inégalée. Ils auraient pu faire un effort dans les villes de bord de mer.

Petite apparté technique, la révolution de cette année, c’est la navigation GPS avec la montre. C’est assez facile à suivre, on sait combien de kilomètres il nous reste, ainsi que quand on arrive en haut des cotes (et ce qui nous attend derrière). Tout ça pour une consommation électrique 10 fois moindre (je dis ça au pif) que sur le téléphone.

Sinon ça se finit aussi bien que ça avait commencé.

Baignade à Castro-Urdiales :

Puis nous avons obtenu l’autorisation de rester dormir sur le terrain d’une discothèque idéalement placée (on vous laisse juger sur les photos). Ils accueillent 3000 personnes les WEs dans un cadre idéal. Ce soir, pas un bruit…

L’étape du jour :